Le matin bleu
étire au long du jour,
même s’il pleut,
têtu comme un labour,
sa promesse jamais tenue.
Le soir à bout d’ennui
effiloche les nues
pauvres habits de nuit
que la métamorphose
de l’aube changera
en promesse morose :
personne n’y croira !
Dernière mise à jour le 5 mois par André
Partager :
- Cliquez pour partager sur Facebook(ouvre dans une nouvelle fenêtre) Facebook
- Cliquer pour partager sur X(ouvre dans une nouvelle fenêtre) X
- Cliquez pour partager sur WhatsApp(ouvre dans une nouvelle fenêtre) WhatsApp
- Cliquez pour partager sur Pocket(ouvre dans une nouvelle fenêtre) Pocket
- Cliquer pour envoyer un lien par e-mail à un ami(ouvre dans une nouvelle fenêtre) E-mail
- Cliquer pour imprimer(ouvre dans une nouvelle fenêtre) Imprimer
- Plus
- Cliquez pour partager sur LinkedIn(ouvre dans une nouvelle fenêtre) LinkedIn
- Cliquez pour partager sur Reddit(ouvre dans une nouvelle fenêtre) Reddit
- Cliquez pour partager sur Tumblr(ouvre dans une nouvelle fenêtre) Tumblr
- Cliquez pour partager sur Pinterest(ouvre dans une nouvelle fenêtre) Pinterest
- Cliquez pour partager sur Telegram(ouvre dans une nouvelle fenêtre) Telegram
Mon papa s’appelait comme vous, il n’était pas poète mais philosophe à ses heures.
Je me demande comment vivrait-il la période que nous vivons actuellement…On pourrait transposer votre poème à notre quotidien, toujours des promesses mais peu de perspectives à l’horizon.
Bonne journée
Mon père aussi portait ce prénom, passé de mode aujourd’hui 🙂
Oui, la météo est bien à l’image de notre … temps .