Quand ploie sous le poids de nos pas
le pont fragile entre origine
et fin brumeuse on ne sait pas
si courir ou raidir l’échine
vaut mieux pour qu’il ne cède pas.
Quand l’âme geint le corps quémande
on ne sait quel baume incertain
quelque caresse qui répande
alentour un parfum de thym
qui nous enivre et nous détende.
Quand au détour du point d’un jour
l’été surgit plante un jardin
nous cheminons d’un pas moins lourd
l’horizon comme un baladin
nous entraîne à rêver d’amour.
Quand ploie sous le poids de nos pas
le pont fragile entre origine
et fin brumeuse on ne sait pas
si courir ou raidir l’échine
vaut mieux pour qu’il ne cède pas.
Quand l’âme geint le corps quémande
on ne sait quel baume incertain
quelque caresse qui répande
alentour un parfum de thym
qui nous enivre et nous détende.
Quand au détour du point d’un jour
l’été surgit plante un jardin
nous cheminons d’un pas moins lourd
l’horizon comme un baladin
nous entraîne à rêver d’amour.
Dernière mise à jour le 2 semaines par André
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