Silence.
Quelques bruits familiers,
un pas sur le gravier.
Présence
invisible du monde
aux confins du jardin.
Patience
infinie et féconde
des insectes, et soudain
conscience
du parfum précurseur
et subtil
d’un instant de bonheur
volatil.
Dernière mise à jour le 2 semaines par André
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on ne voit pas (encore), on entend et on sent (déjà) 🙂
c’est très beau!
Merci.