Le grognement sourd des machines
ponctue l’air d’un été hâtif
les chenilles geignent et j’imagine
les griffes ouvrant la terre à vif.
Il est donc revenu le temps
des bras nus armés de marteaux
des casques jaunis au printemps
des pics jouant en staccato.
La machine à rêver m’entraîne
malgré moi aux temps révolus
où maillon de la même chaîne
j’usais ma jeunesse ingénue.
Le grognement sourd des machines
ponctue l’air d’un été hâtif
les chenilles geignent et j’imagine
les griffes ouvrant la terre à vif.
Il est donc revenu le temps
des bras nus armés de marteaux
des casques jaunis au printemps
des pics jouant en staccato.
La machine à rêver m’entraîne
malgré moi aux temps révolus
où maillon de la même chaîne
j’usais ma jeunesse ingénue.
Dernière mise à jour le 4 semaines par André
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