Dans les rues englouties, les trottoirs désertés,
silencieux et maussades un samedi matin
n’ont rien d’autre à offrir aux passants déroutés
que la désolation d’un centre-ville éteint.
Quatre mois de misère ont suivi le déluge
et partout les stigmates s’obstinent à saigner,
un peu partout les gens usent de subterfuges
pour masquer les blessures qu’ils ne peuvent soigner.
Quatre mois de misère, et l’hiver, et le froid
déjà ont annoncé leur retour empressé
sans la moindre merci pour le chemin de croix
de ceux qui chaque jour demeurent angoissés.
Dans les rues englouties, les trottoirs désertés,
silencieux et maussades un samedi matin
n’ont rien d’autre à offrir aux passants déroutés
que la désolation d’un centre-ville éteint.
Quatre mois de misère ont suivi le déluge
et partout les stigmates s’obstinent à saigner,
un peu partout les gens usent de subterfuges
pour masquer les blessures qu’ils ne peuvent soigner.
Quatre mois de misère, et l’hiver, et le froid
déjà ont annoncé leur retour empressé
sans la moindre merci pour le chemin de croix
de ceux qui chaque jour demeurent angoissés.
Dernière mise à jour le 15 heures par André
Partager :
- Cliquez pour partager sur Facebook(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquez pour partager sur Twitter(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquez pour partager sur WhatsApp(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquez pour partager sur Pocket(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquer pour envoyer un lien par e-mail à un ami(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquer pour imprimer(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Plus
- Cliquez pour partager sur LinkedIn(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquez pour partager sur Reddit(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquez pour partager sur Tumblr(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquez pour partager sur Pinterest(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquez pour partager sur Telegram(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
Des plaies encore vives…
Et douloureuses … merci d’avoir pris la peine de lire.