Les hommes avaient conquis depuis longtemps landes, bois et maquis …
Un pot de café chaud …
Le ciel monté en neige a pleuré tout le jour …
Les trottoirs désertés n’ont rien d’autre à offrir que la désolation.
Hagards, désemparés, ils errent dans leur vie …
Des temps enfuis les témoins ne sont plus …
Novembre au doux soleil frileux …
Un beau jour à la mer, un ciel d’azur sous un soleil tout fier …
Un village assoupi le long de sa grand’rue …
Un soleil attiédi décline sur le jardin …
Petite place à l’air tranquille …
Ils ne se parlaient pas, se connaissaient à peine …
Les portes ouvertes des maisons crient à la rue leur désarroi …
Dans le regard, en filigrane, plane un lieu dont il ne reste rien …
C’est le ciel de juillet qui tomba sur leurs têtes. …
Mon nouveau recueil de poèmes …
Attirés par l’odeur du sang,
les charognards sont de sortie …
Les oiseaux étonnés ne savent pas encore s’il faut se remettre à chanter …
Nature impitoyable,
voudrais-tu nous apprendre
à être raisonnables …
Quand l’été gris ruisselle dans les jardins …