À l’aurore quand la nuit meurt
les démons anxieux agonisent
laissant le jour glisser sans heurts
sur les étendues indécises.
L’horizon va sous la colline
chercher ses pastels les plus doux
pour donner au ciel violine
des apparences de redoux.
Le jour tiendra-t-il la promesse
de ce bref instant suspendu
entre le sommeil et la presse
d’un quotidien hypertendu ?
À l’aurore quand la nuit meurt
les démons anxieux agonisent
laissant le jour glisser sans heurts
sur les étendues indécises.
L’horizon va sous la colline
chercher ses pastels les plus doux
pour donner au ciel violine
des apparences de redoux.
Le jour tiendra-t-il la promesse
de ce bref instant suspendu
entre le sommeil et la presse
d’un quotidien hypertendu ?
Dernière mise à jour le 12 mois par André
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joli 🙂
Merci 🙂