Un train de nuit un hamac bleu
tout ce qui berce ouvre la voie
un soir d’été un jour frileux
un labyrinthe ou se fourvoient
les traces de mes pieds calleux.
Reliques de ce qui peut-être
ne sera que le temps d’un songe
il ne vous est donné de naître
qu’un peu floues quand la nuit allonge
les secondes qui s’enchevêtrent.
Les voyages ont une existence
au-delà des chemins tracés
ils nous mènent en toute innocence
nous n’en avons jamais assez.
Un train de nuit un hamac bleu
tout ce qui berce ouvre la voie
un soir d’été un jour frileux
un labyrinthe ou se fourvoient
les traces de mes pieds calleux.
Reliques de ce qui peut-être
ne sera que le temps d’un songe
il ne vous est donné de naître
qu’un peu floues quand la nuit allonge
les secondes qui s’enchevêtrent.
Les voyages ont une existence
au-delà des chemins tracés
ils nous mènent en toute innocence
nous n’en avons jamais assez.
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(merci du voyage)
jamais assez … indice que l’on est encore vivant ?