Les mots en germes, en bourgeons, en boutons
écloront-ils aux matins de printemps ?
Entendront-ils ce que nous écoutons
pour le crier aux quatre coins du temps ?
Les mots futurs parleront-ils d’amour
ou diront-ils la guerre et la mort et le deuil ?
Chanteront-ils la vie aux merveilleux atours
et sa vulnérabilité de feuille ?
De saison en saison les mots reviennent,
des habits neufs sur leurs membres usés,
radotant à l’envi les anciennes antiennes,
essayant de tromper les humains médusés.
Les mots en germes, en bourgeons, en boutons
écloront-ils aux matins de printemps ?
Entendront-ils ce que nous écoutons
pour le crier aux quatre coins du temps ?
Les mots futurs parleront-ils d’amour
ou diront-ils la guerre et la mort et le deuil ?
Chanteront-ils la vie aux merveilleux atours
et sa vulnérabilité de feuille ?
De saison en saison les mots reviennent,
des habits neufs sur leurs membres usés,
radotant à l’envi les anciennes antiennes,
essayant de tromper les humains médusés.
Dernière mise à jour le 4 mois par André
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