Leur départ toujours nous laisse la blessure de l’absence.
Sur les champs désertés neigera-t-il encore ?
Quelques chaises patientes me tiennent compagnie …
Les mots écloront-ils ?
Leur départ toujours nous laisse la blessure de l’absence.
Sur les champs désertés neigera-t-il encore ?
Quelques chaises patientes me tiennent compagnie …
Les mots écloront-ils ?