Jours de printemps, j’effleure
d’une pensée secrète
la robe de vos fleurs
aux fragrances discrètes.
Jours d’avril révolus
contre vents et marées
le rythme de vos flux
a toujours fissuré
les gelées vermoulues.
Jours de mai qui viendrez
nous rendrez-vous la paix
des enfances nacrées
qui jadis échappaient
aux tristes simagrées ?
Jours de printemps, je n’ose
croire aux espoirs secrets
que les boutons de roses
conçoivent pour après.
Jours de printemps, j’effleure
d’une pensée secrète
la robe de vos fleurs
aux fragrances discrètes.
Jours d’avril révolus
contre vents et marées
le rythme de vos flux
a toujours fissuré
les gelées vermoulues.
Jours de mai qui viendrez
nous rendrez-vous la paix
des enfances nacrées
qui jadis échappaient
aux tristes simagrées ?
Jours de printemps, je n’ose
croire aux espoirs secrets
que les boutons de roses
conçoivent pour après.
Dernière mise à jour le 10 mois par André
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