Été de feux sauvages …
Les grains du jour s’écoulent au sablier …
Le parlement danois a fini par adopter la loi infâme
Une voix, quelques notes, et meurt le temps …
la musique donne au printemps des airs d’amours mélancoliques
Dimanche aux tons passés …
L’air de rien les chansons volent …
Nous aurons donné à nos jours le papier blanc pour y écrire …
Il va, s’en vient, il rôde …
Ton enfance est finie depuis si peu de temps …
… ce n’est ni oui, ni peut-être.
Quand le gourmand, l’oeil allumé, oublie sa vie …
L’indifférence est lourde au cœur de son hôte et de son témoin.
Où va le sang qui coule?
La trame usée des jours laisse voir la misère …
Belle inconnue aux traits de brume …
Il pleuvait sur Bouillon …
La balle roule et le temps court …