Vieux mariés vieux amants le temps nous a liés
Pierrot rêvait d’une école …
Le fanal d’un îlot à l’écart de la fête guide les naufragés en quête de secours
Nous aurons donné à nos jours le papier blanc pour y écrire …
Demain, quand les enfants rempliront la maison …
Pont fragile entre origine et fin brumeuse …
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Au petit jour, les amoureux
seuls et perdus,
pleurent toujours des temps heureux
Journal morose, encre noire sur papier gris …
Dans ton cartable rose, tu transportes le monde …
Un homme avec un nez au milieu du visage …
Du Sud au Nord, les foules folles …
Ce texte est ma participation au jeu d’écriture Agenda ironique …
Amour aux étranges méandres …
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Défilent les nuages
gris et rose,
comme une vie qui s’écoule au rythme du train qui va,
Il faut de tout pour faire un monde …
Les trois mots qu’il eût fallu dire sont restés cois …
Ils sont partout.
Ils chantent, ils crient.
Ils sont en nous …
En larguant les amarres …
Cœur ouvert et perles d’amour …
Quand soudain la nuit tombe …