Passe le chant des saisons, nous marchons notre chemin …
Immuable et changeant le jardin se réveille …
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Les traîtres mots ont déserté
sans coup férir
le chant de bataille avorté
Aujourd’hui c’est en France qu’un pantin ridicule du fond de son théâtre aguiche les passants …
Sont-ils donc si nombreux à ne rien écouter que le chant des sirènes ?
La fleur te dit: « Regarde tant de beautés au monde. »
Marchez, enfants, votre pas décidé donne vie aux slogans …
La mer dans sa fureur ne m’a rien révélé
Ballerine, tes six ans nagent sur un lac, avec les cygnes …
Cuando paso por tu puerta,
la tarde que viene a herir
con su hermosura desierta
Le ciel a pleuré sur Grenade …
Les trois mots qu’il eût fallu dire sont restés cois …
Vieux murs moussus …
Vieux murs moussus …
D’une voix qui se tait surgit le souvenir …
L’œil plonge et se perd …
Au bois dormant l’on se repose …