Un soleil attiédi décline sur le jardin …
Depuis le temps, Tityre, que sous ton hêtre tu reposes …
Le long ennui des canicules …
Les jours de splendeur …
Les grains du jour s’écoulent au sablier …
Les magiciens du crépuscule …
Le fil du temps tranche les heures
en portions …
Mal vêtu de tristesse et chaussé de colère,
un quidam confiné marche au cœur de la pluie …
Les années passent, et fuit
la vie, nous laissant vides …
On ne l’attendait pas,
on ne l’espérait plus …
Le long des dimanches frileux passe une vie au ralenti …
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Toute une histoire en une seule fois, c’est trop ! Alors, je lui ai promis qu’à chacune de nos rencontres, j’ajouterai quelques lignes …
Automne et pluie,
quand le silence un peu rugueux, …
Vieux murs moussus …
Nous vivons sous la pluie un été de déluge …