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Jardin.

Un attiédi décline
sur le où pas un ,
sinon la anodine
de la qui trompe l’,
ne trouble l’esprit qui s’obstine
à voir bien au-delà de lui
ces existences citadines
dont l’onde furieuse a détruit
le foyer, le plant d’églantine,
les et l’aujourd’hui.

Jardin, que sais-tu des orages,
des calamités climatiques,
des inondations qui ravagent
nos rues, maisons, ponts ou boutiques ?

Jardin, combien de encore
survivras-tu aux éléments
dont la voracité dévore
les peuples prématurément ?

Un soleil attiédi décline
sur le jardin où pas un bruit,
sinon la rumeur anodine
de la vie qui trompe l’ennui,
ne trouble l’esprit qui s’obstine
à voir bien au-delà de lui
ces existences citadines
dont l’onde furieuse a détruit
le foyer, le plant d’églantine,
les souvenirs et l’aujourd’hui.

Jardin, que sais-tu des orages,
des calamités climatiques,
des inondations qui ravagent
nos rues, maisons, ponts ou boutiques ?

Jardin, combien de temps encore
survivras-tu aux éléments
dont la voracité dévore
les peuples prématurément ?

Posted in Déluge, Poèmes
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