Le silence aujourd’hui s’est tu …
Un crissement de craie grince dans ma mémoire …
Sur le web, on trouve de tout, et parfois le meilleur …
Le temps qui n’arrange rien avait laissé filer nos liens …
Les amarres larguées nous irons dans le vent …
Ne peut-on vraiment pas considérer les pauvres, malheureux, sans abri, réfugiés comme des personnes humaines ?
Toujours les mêmes mots …
La plainte aiguë d’un long vent d’Est …
Dans le cornet les dés s’affolent …
J’avais bien entendu, ou lu, l’expression « flash mob » …
La poésie ne serait-elle qu’un outrecuidant abandon ?
Un petit noir arrogant fume,
il se sait le roi du matin …
Où vas-tu ma jolie au hasard les mains nues ?
Aux convulsions du monde nous restons interdits.
Les blonds enfants du mercredi jouent dans le sable …
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Nostalgie aux baisers languides,
fantôme de temps abolis,
D’où viens-tu, pèlerin égaré sur les routes …
vingt voix vingt femmes chantent …
Le jour décline, il fait nuit noire …
Un ressac a roulé de vagues nostalgies …