Sous son tapis roussi l’herbe est-elle plus verte ?
J’irai chercher le réconfort
au creux des combes …
Et pourtant la fenêtre ouverte sur la nuit …
Le printemps qui pointe le bout de son bourgeon nous rappelle à la vie …
La terre étouffe, elle agonise …
Ainsi chantait Adriano, lui qui ressemble tant à mon oncle Mimile …
Arbres nous direz-vous les noms secrets des elfes ?
Lorsque se tait le chant qu’un autre chant s’élève …
Dans leurs yeux toujours un reflet …
Elle est de plus en plus grande, cette tentation de fermer les yeux, de me pelotonner sous les couvertures et de m’inventer un monde.
Paresseux l’été prend son temps …
Combien de fois suis-je donc né se demande le monde …
On se tourne volontiers vers un passé rêvé, fantasmé, sublimé …
Il était une fois dans un château …
ils vont sur les sentiers ombreux vivre le reste de leur âge.
Nous sommes surpris des inquiétudes des gens qui nous ont précédés …
Mon premier, le pou l’est.
Ils sont deux qui peuplent mon monde …
Voler au secours de l’humanité en danger …
Et c’est vrai, le journal … c’est celui d’aujourd’hui !