Les villageois se reconstruisent …
Des limbes de l’enfance un banc de brume …
De toi ne reste qu’elle …
« un malaise profond qui ne perce à peu près jamais dans les médias » …
Vannes s’ouvrant sur le déluge
… et puis la vie.
Que de remous à propos de l’orthographe !
Vivons sans attendre l’aurore …
L’été s’est levé tôt …
Derrière la colline aux versants fatigués …
A petits pas furtifs, les secondes cheminent …
Dimanche aux tons passés …
Égarés sans boussole il nous reste l’espoir …
On ne l’attendait pas,
on ne l’espérait plus …
Pétales au tons fragiles
du coin de l’âme
Naufragé de son âge,
il laboure
un passé de mirages,
à rebours.
Fantômes en noir sur blanc, mots obsolètes …
Vieux mariés vieux amants le temps nous a liés
.
Toute une histoire en une seule fois, c’est trop ! Alors, je lui ai promis qu’à chacune de nos rencontres, j’ajouterai quelques lignes …
La nostalgie au quotidien multiplie nos vies à l’envi …
.
Tout en courant, je me traîne.
Rien ne m’arrête
mais tout me freine.