Le monde en son dernier matin regarde briller le soleil …
Sa vie est une danse …
Les fleurs de solitude aux pétales pâlis …
Un sourire, et la vie reprend quelque couleur …
Une rue banale, une passante. Puis un homme …
Nous avions feint d’aimer la retraite imposée …
Et qu’emporterons-nous, au jour du grand départ ?
Le petit peuple avant l’aurore
s’est égaillé …
Le vrai bonheur c’était hier …
Et pourtant la fenêtre ouverte sur la nuit …
Le printemps qui pointe le bout de son bourgeon nous rappelle à la vie …
Les milliards des requins internationaux s’entassent au soleil
La mer, quelle merveilleuse découverte …
framboises et mûres mûrissent au jardin …
Nous étions passagers
de l’air pur et du vent …
Mettre un visage, une voix, un sourire sur les chiffres glacés des statistiques …
Ils sont quatre, afghans, ados de 15 à 17 ans. Ils me racontent leur voyage …
Ce matin, c’est de Washington …
Les belles de jadis avaient l’amour courtois …
Ainsi passent les jours …