Un soleil attiédi décline sur le jardin …
La campagne sourit sous le soleil d’automne …
Ma façon personnelle d’ « écrire pour ne pas mourir. »
On se recrée un monde …
Le long du temps, désabusés, nous marcherons d’un pas égal …
Une rue banale, une passante. Puis un homme …
Dans l’émotion d’un souvenir …
Quand l’heure grise sonne au coucou fatigué …
Le risque est grand pour notre société d’être submergée par les vagues d’égoïsme.
Décidément, ça ne passe pas.
Les cailloux du chemin nous racontent une histoire …
Le silence est-il plus pertinent que la bouteille à la mer ?
Les temps sont mûrs pour embarquer …
Dans un pays où on parle de priorités, on continue à bafouer sans vergogne les droits les plus élémentaires des plus faibles …
Je partirai au printemps renaissant …
Un écureuil descend soudain de son perchoir, et te regarde …
Le temps qui n’arrange rien avait laissé filer nos liens …
Le petit peuple avant l’aurore
s’est égaillé …
Le vrai bonheur c’était hier …
Ils ne se parlaient pas, se connaissaient à peine …