Les jours d’anniversaire,
entre le temps passé et le temps qui sera …
nos portes sont dans nos maisons dans nos rêves et dans nos viscères …
poème, mon ami …
Douce pluie d’été de nos souvenirs …
Je suis l’affiche délavée d’un spectacle …
Le temps n’est plus un air en tourbillons m’emporte …
Quand soudain l’heure sonne …
Blanche amertume en col mousseux …
Quelques chaises patientes me tiennent compagnie …
On dit que l’eau sous les ponts coule …
« un malaise profond qui ne perce à peu près jamais dans les médias » …
Tout ce qui berce ouvre la voie
Libres nous parlerons …
La vie rêvée des temps d’enfance,
étés de framboises …
Monsieur le comte Lippens est le bourgmestre de Knokke …
Jour familier venez prenez-moi par la main …
Le coucou ne dit plus la complainte des heures …
sous la tonnelle accueillante
Les liens pourtant avaient résisté aux tempêtes …
Faut-il dire au soleil : « Brille ! »
pour qu’il brille ?