Et pourtant
le soleil se lève
et les enfants jouent,
remontent les sèves,
rosissent les joues.
Et pourtant
saluant l’aurore
les oiseaux gazouillent
leurs amours sonores
qu’aucun bruit ne brouille.
Et pourtant
tant de mains se tendent,
tant d’yeux se sourient,
tant de gens pourfendent
les supercheries.
Et pourtant
on voudrait y croire
à l’humanité,
on voudrait pouvoir
chanter et sauter,
crier aux vautours
de passer leur tour !
Et pourtant
le soleil se lève
et les enfants jouent,
remontent les sèves,
rosissent les joues.
Et pourtant
saluant l’aurore
les oiseaux gazouillent
leurs amours sonores
qu’aucun bruit ne brouille.
Et pourtant
tant de mains se tendent,
tant d’yeux se sourient,
tant de gens pourfendent
les supercheries.
Et pourtant
on voudrait y croire
à l’humanité,
on voudrait pouvoir
chanter et sauter,
crier aux vautours
de passer leur tour !
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