Le feu meurt doucement.
La cendre grise, encore,
couve un tison dormant:
non, le feu n’est pas mort !
Le souffle d’un élan,
un espoir tourmenté,
un geste un peu violent
peut le ressusciter.
Feu qui consumes et qui dévores,
feu sans pitié,
insatiable conquistador,
feu flibustier,
tu détruis nos corps et nos âmes
sur tes bûchers
engloutissant hommes et femmes
effarouchés.
Le feu ne dort que d’un œil
mi-clos,
au moindre sursaut d’orgueil
éclot
une fièvre nouvelle
qui tue
comme une ritournelle
têtue.
Le feu meurt doucement.
La cendre grise, encore,
couve un tison dormant:
non, le feu n’est pas mort !
Le souffle d’un élan,
un espoir tourmenté,
un geste un peu violent
peut le ressusciter.
Feu qui consumes et qui dévores,
feu sans pitié,
insatiable conquistador,
feu flibustier,
tu détruis nos corps et nos âmes
sur tes bûchers
engloutissant hommes et femmes
effarouchés.
Le feu ne dort que d’un œil
mi-clos,
au moindre sursaut d’orgueil
éclot
une fièvre nouvelle
qui tue
comme une ritournelle
têtue.
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De jolies phrases pour décrire un fléau de l’été
Merci. C’est aussi une métaphore pour un fléau qui n’est pas que de l’été…
Aussi ravageur que l’eau… Deux éléments à craindre.
il est glaçant, ton feu 😉
Pas plus que la réalité qu’il représente 😉