Vus du balcon, qu’ils semblent loin
les remous du monde enragé,
les hurlements, les coups de poing,
les pleurs d’enfants, de gens âgés.
Qu’ils semblent loin l’adolescent
enfermé dans sa solitude
et le pervers déliquescent
englué dans ses turpitudes.
Depuis ma bulle, sur l’écran
je ne vois que les ectoplasmes
de ces humains que je ne prends
que pour les jeux de mes fantasmes.
Vu du balcon, le monde n’est
que le décor en carton-pâte
d’un mauvais théâtre qui n’est
fait que de scènes disparates.
Vus du balcon, qu’ils semblent loin
les remous du monde enragé,
les hurlements, les coups de poing,
les pleurs d’enfants, de gens âgés.
Qu’ils semblent loin l’adolescent
enfermé dans sa solitude
et le pervers déliquescent
englué dans ses turpitudes.
Depuis ma bulle, sur l’écran
je ne vois que les ectoplasmes
de ces humains que je ne prends
que pour les jeux de mes fantasmes.
Vu du balcon, le monde n’est
que le décor en carton-pâte
d’un mauvais théâtre qui n’est
fait que de scènes disparates.
Dernière mise à jour le 1 an par André
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Ailleurs, là-bas, suspendu sur le Lot, j’ai un balcon que j’adore… il est comme un tapis volant !
Les balcons d’ailleurs pour nous emmener … un rêve !
C’est si vrai que souvent on n’a pas envie d’y aller voir, sur son balcon 😉
D’autre part, on y est bien à l’abri, bien au chaud dans sa bulle …