Tout ce qui berce ouvre la voie
Libres nous parlerons …
Insectes dérisoires aux arrogants terriers
La vie rêvée des temps d’enfance,
étés de framboises …
Toujours les mêmes mots …
Monsieur le comte Lippens est le bourgmestre de Knokke …
Jour familier venez prenez-moi par la main …
Le coucou ne dit plus la complainte des heures …
sous la tonnelle accueillante
L’horizon sur la crête a des airs de frontière …
Le vent se lève sur les saisons frivoles …
Le ciel du soir déchire ses haillons …
Les liens pourtant avaient résisté aux tempêtes …
Les couleurs des pétales aux douceurs veloutées …
Faut-il dire au soleil : « Brille ! »
pour qu’il brille ?
ton jeu me fascine et m’endort …
Au vent vont les étoiles
A veces me llegan ganas …
La vie des plantes a quelque chose d’inquiétant …
Les grains du jour s’écoulent au sablier …