Les iris nonchalants que berce un vent léger
de leurs corolles parme narguent les quelques roses
parsemant le jardin que leurs boutons figés
garnissent de couleurs tout en prenant la pose.
Sur le sentier désert nul pas ne fait ombrage
au silence cerné par l’écho assourdi
des bruits de la rue à l’intermittent passage
aux oiseaux dont le chant quelquefois s’enhardit.
Les iris bienveillants près des grands arbres sourds
apaisent le rêveur et lui font un décor
où son corps se repose et sa fantaisie court
poursuivant un oubli qui se refuse encore.
Les iris nonchalants que berce un vent léger
de leurs corolles parme narguent les quelques roses
parsemant le jardin que leurs boutons figés
garnissent de couleurs tout en prenant la pose.
Sur le sentier désert nul pas ne fait ombrage
au silence cerné par l’écho assourdi
des bruits de la rue à l’intermittent passage
aux oiseaux dont le chant quelquefois s’enhardit.
Les iris bienveillants près des grands arbres sourds
apaisent le rêveur et lui font un décor
où son corps se repose et sa fantaisie court
poursuivant un oubli qui se refuse encore.
Dernière mise à jour le 4 semaines par André
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