Dix-sept printemps soudain surgissent
du puits sans fond des vérités;
dix-sept printemps surgis mugissent
soufflant ce qu’il en a coûté
d’abandons pour que s’assagisse
enfin l’automne aux jours gâtés.
Il aura suffi d’un refrain
pour que l’air embaume a nouveau,
pour reprendre en marche le train
des évasions aux jours nouveaux.
Mais l’illusion est éphémère,
le souffle n’était qu’un soupir.
Mes dix-sept printemps doux-amers
n’en finissent pas de mourir.
Dix-sept printemps soudain surgissent
du puits sans fond des vérités;
dix-sept printemps surgis mugissent
soufflant ce qu’il en a coûté
d’abandons pour que s’assagisse
enfin l’automne aux jours gâtés.
Il aura suffi d’un refrain
pour que l’air embaume a nouveau,
pour reprendre en marche le train
des évasions aux jours nouveaux.
Mais l’illusion est éphémère,
le souffle n’était qu’un soupir.
Mes dix-sept printemps doux-amers
n’en finissent pas de mourir.
Dernière mise à jour le 1 mois par André
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