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Écrans.

Comme un aimant, l’écran
attire l’œil
des , érant
comme un écueil
la fragile carène
de la raison,
libérant les murènes
de leurs prisons.

La grande des gosses,
leur grand frisson,
n’est plus la Carabosse
dans un buisson
mais l’ectoplasme idiot,
laid à souhait,
que vendent les studios
comme un brouet.

Comme un aimant, l’écran
attire l’œil
des enfants, lacérant
comme un écueil
la fragile carène
de la raison,
libérant les murènes
de leurs prisons.

La grande peur des gosses,
leur grand frisson,
n’est plus la Carabosse
dans un buisson
mais l’ectoplasme idiot,
laid à souhait,
que vendent les studios
comme un brouet.

Dernière mise à jour le 4 heures par André

Posted in Blog, Poèmes
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