Un éclair bleu nous tire l’œil …
Elle vivote l’araignée sous mon plafond vermoulu …
Nous irons par les chemins creux …
Notre inertie indigne entrera dans l’histoire.
Le jour meurt et la paix du soir
s’étend sur nous …
Il était une fois dans un château …
Tremblez car il est de retour …
La foule indifférente et pressée se bouscule
sans voir dans un recoin … la fille vêtue de rouge et noir …
Au bois dormant l’on se repose …
Comme un aimant, l’écran attire l’œil …