J’ai dans la tête un rythme doux
de fleurs aux noms imprononçables
d’hivers languides et de redoux
de dunes aux longs chemins de sable.
Sur un air de mains qui se touchent
un pas glissé de valse lente
le bourdonnement d’une mouche
souligne la quiétude ambiante.
J’ai dans la tête un rêve fou
de parfums de fleurs polychromes
qu’aucun fier-à-bras ne bafoue
qui dans la paix du soir embaument.
J’ai dans la tête un rythme doux
de fleurs aux noms imprononçables
d’hivers languides et de redoux
de dunes aux longs chemins de sable.
Sur un air de mains qui se touchent
un pas glissé de valse lente
le bourdonnement d’une mouche
souligne la quiétude ambiante.
J’ai dans la tête un rêve fou
de parfums de fleurs polychromes
qu’aucun fier-à-bras ne bafoue
qui dans la paix du soir embaument.
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Comme c’est beau !
un peu d’espoir, on est preneur, on en a bien besoin…