Dans le regard, en filigrane,
sur les tableaux du quotidien,
sous le soleil ou la pluie, plane
un lieu dont il ne reste rien.
Dans le salon douillet, la rue
aux maisons vides et aux yeux tristes.
Dans le jardin, l’image crue
de physionomies fatalistes.
Dans la chambre, au long du trottoir
des montagnes de vies brisées.
Dans le regard, en filigrane,
sur les tableaux du quotidien,
sous le soleil ou la pluie, plane
un lieu dont il ne reste rien.
Dans le salon douillet, la rue
aux maisons vides et aux yeux tristes.
Dans le jardin, l’image crue
de physionomies fatalistes.
Dans la chambre, au long du trottoir
des montagnes de vies brisées.
Et hier, pour le repas du soir,
à table des gens épuisés.
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J’imagine…
Bon courage !
Merci. Le courage est bon, mais ce sont des images qui marquent.
je sais, j’ai pleuré devant ma télé 😉
Bonsoir un bien joli poème, bonne soirée amicalement MTH
Merci. Bonne soirée à toi.