Demain, quand les enfants rempliront la maison …
Pont fragile entre origine et fin brumeuse …
.
Au petit jour, les amoureux
seuls et perdus,
pleurent toujours des temps heureux
Journal morose, encre noire sur papier gris …
Dans ton cartable rose, tu transportes le monde …
Un homme avec un nez au milieu du visage …
Du Sud au Nord, les foules folles …
Ce texte est ma participation au jeu d’écriture Agenda ironique …
Amour aux étranges méandres …
.
Défilent les nuages
gris et rose,
comme une vie qui s’écoule au rythme du train qui va,
Il faut de tout pour faire un monde …
Les trois mots qu’il eût fallu dire sont restés cois …
Ils sont partout.
Ils chantent, ils crient.
Ils sont en nous …
En larguant les amarres …
Cœur ouvert et perles d’amour …
Quand soudain la nuit tombe …
Enfant au nom imprononçable …
Les mots d’amour les mains tendues …
Les motifs d’indignation et de crainte étendent chaque jour leur nappe nauséabonde.
Ceux qui fuient savent-ils que le monde autour d’eux n’est qu’une lande hostile … ?