Un beau jour à la mer, un ciel d’azur sous un soleil tout fier …
Quand se gonfle la voile à la marée montante …
Le silence est-il plus pertinent que la bouteille à la mer ?
Les yeux indifférents du poisson sur l’étal …
Chemins creux à l’odeur de bouse qu’exalte la moiteur de l’air …
Le grand aimant marin …
L’horizon s’enchevêtre et le chemin se perd
Mon pays, ce n’est plus un pays …
La mer, quelle merveilleuse découverte …
Libres nous parlerons …
Faut-il dire au soleil : « Brille ! »
pour qu’il brille ?
Il aura fallu la patience …
Peut-être la nuit n’est-elle
que promesse non tenue …
Le ciel nous nargue et l’horizon ne dément rien …
Le silence est profond
comme la mer …
Lorsque monte la vague …
L’escarpolette
un jour s’envole,
le cœur s’emballe …
Vague immobile et turbulente tu creuses ton sillon …
Le silence rythmé de la marée tranquille
Le fanal d’un îlot à l’écart de la fête guide les naufragés en quête de secours