Il était bien trop grand …
Ballerine, tes six ans nagent sur un lac, avec les cygnes …
Je me réveillerai un matin sur la terre …
Ils rêvent d’Angleterre comme, enfants, nous rêvions de paradis sur terre …
Brique après brique …
Embarqué un soir de novembre …
En larguant les amarres …
Vivants nous parcourons des printemps …
Quand l’heure grise sonne au coucou fatigué …
Et les îles s’envolaient …
Les amarres larguées nous irons dans le vent …
Ils vont danser au bal masqué …
J’eus beau chercher les mots …
La langue est un voyage …
L’horizon s’enchevêtre et le chemin se perd
Depuis le temps, Tityre, que sous ton hêtre tu reposes …
Nous dormirons dans la verdure …
La houle en valse lente étourdit ris et focs
La vie en larmes douces a plu sur nos printemps …
Jonas au fond des mers passager du destin