Le monde en son dernier matin regarde briller le soleil …
Passant que sais-tu des maisons … ?
L’équinoxe fatal a surgi sans rien dire …
Au bois dormant l’on se repose …
Le timide qui n’ose et le hâbleur prolixe …
Les mots au hasard volent …
Hiver ou été, mieux vaut être riche et en bonne santé que pauvre et malade …
Fractale à l’infini …
Novembre au doux soleil frileux …
Où vont-ils, ceux qui passent pressés ou nonchalants ?
Un beau jour à la mer, un ciel d’azur sous un soleil tout fier …
Un village assoupi le long de sa grand’rue …
La caresse discrète à fleur de la peau nue …
Nous vivons sous la pluie un été de déluge …
Octobre avait sorti son soleil du dimanche …
Un soleil attiédi décline sur le jardin …
La campagne sourit sous le soleil d’automne …
Petite place à l’air tranquille …
Il est un val celé au tréfonds de nous-mêmes …
Et qu’emporterons-nous, au jour du grand départ ?