Un village assoupi le long de sa grand’rue …
La caresse discrète à fleur de la peau nue …
Nous vivons sous la pluie un été de déluge …
Octobre avait sorti son soleil du dimanche …
Un soleil attiédi décline sur le jardin …
La campagne sourit sous le soleil d’automne …
Petite place à l’air tranquille …
Il est un val celé au tréfonds de nous-mêmes …
Et qu’emporterons-nous, au jour du grand départ ?
Au soir d’une journée torride …
Un éclair bleu nous tire l’œil …
Chemins creux à l’odeur de bouse qu’exalte la moiteur de l’air …
Elle mirait dans les flaques son reflet trouble …
Pour avoir été témoins de ces mains calleuses …
Dans le regard, en filigrane, plane un lieu dont il ne reste rien …
L’été, destination soleil!
C’est le ciel de juillet qui tomba sur leurs têtes. …
Le printemps n’a fait que passer …
Sous son tapis roussi l’herbe est-elle plus verte ?
Le printemps qui pointe le bout de son bourgeon nous rappelle à la vie …