Un soleil attiédi décline sur le jardin …
La campagne sourit sous le soleil d’automne …
Petite place à l’air tranquille …
Il est un val celé au tréfonds de nous-mêmes …
Et qu’emporterons-nous, au jour du grand départ ?
Au soir d’une journée torride …
Un éclair bleu nous tire l’œil …
Chemins creux à l’odeur de bouse qu’exalte la moiteur de l’air …
Elle mirait dans les flaques son reflet trouble …
Pour avoir été témoins de ces mains calleuses …
Dans le regard, en filigrane, plane un lieu dont il ne reste rien …
L’été, destination soleil!
C’est le ciel de juillet qui tomba sur leurs têtes. …
Le printemps n’a fait que passer …
Sous son tapis roussi l’herbe est-elle plus verte ?
Le printemps qui pointe le bout de son bourgeon nous rappelle à la vie …
Les oiseaux étonnés ne savent pas encore s’il faut se remettre à chanter …
Lorsque se tait le chant qu’un autre chant s’élève …
J’aurais voulu d’un ton léger dire la douceur de l’été …
Sentier sinueux aux horizons incertains …