Le calme revenu, la poésie oscille,
son long pas chaloupé me tenant par la main
pour soutenir mon pas lorsque les mots vacillent,
le vent dans ses cheveux indique le chemin.
Sirène au regard d’algue où danse une lumière,
la magie de sa voix m’entraîne au fil du temps
vers d’improbables lieux aux rumeurs familières
dont je ne retiens que quelques mots hésitants.
Compagne bienveillante ou maîtresse exigeante,
la poésie repeint pour ses amants fidèles
un monde où trop souvent la couleur est absente,
un univers dont les vieux vernis se craquellent.
Le calme revenu, la poésie oscille,
son long pas chaloupé me tenant par la main
pour soutenir mon pas lorsque les mots vacillent,
le vent dans ses cheveux indique le chemin.
Sirène au regard d’algue où danse une lumière,
la magie de sa voix m’entraîne au fil du temps
vers d’improbables lieux aux rumeurs familières
dont je ne retiens que quelques mots hésitants.
Compagne bienveillante ou maîtresse exigeante,
la poésie repeint pour ses amants fidèles
un monde où trop souvent la couleur est absente,
un univers dont les vieux vernis se craquellent.
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