Souvenir flou du jardin près des vaches
quand de grands draps blanchissaient au soleil
bac à sable en ciment où les potaches
dans leur château se gavaient de groseilles.
Le grand arbre au-delà du potager
forêt vierge à lui seul abri discret
feuillage bienveillant aménagé
en cachette estivale de nos secrets.
Les mains bien agrippées au bastingage
sur la terrasse aux airs de passerelle
le pied marin nous partions en voyage
sur des mers où l’aventure était belle.
Souvenirs flous des jours de notre enfance
où le temps se vêtait d’éternité
pour nous offrir un surplus d’innocence
avant la plongée dans l’humanité.
Souvenir flou du jardin près des vaches
quand de grands draps blanchissaient au soleil
bac à sable en ciment où les potaches
dans leur château se gavaient de groseilles.
Le grand arbre au-delà du potager
forêt vierge à lui seul abri discret
feuillage bienveillant aménagé
en cachette estivale de nos secrets.
Les mains bien agrippées au bastingage
sur la terrasse aux airs de passerelle
le pied marin nous partions en voyage
sur des mers où l’aventure était belle.
Souvenirs flous des jours de notre enfance
où le temps se vêtait d’éternité
pour nous offrir un surplus d’innocence
avant la plongée dans l’humanité.
Dernière mise à jour le 12 mois par André
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Mes souvenirs de la rue Lemarchand sont beaucoup plus ténus : une limace dans le potager, la visite d’un hérisson…
Tous ces souvenirs d’enfance vaudront la peine d’un recueil à eux dédiés !
Voilà ce que c’est qu’être jeune … 🙂
J’aime vraiment beaucoup!