Vannes s’ouvrant sur le déluge
hommes et biens soudain noyés
maisons fracassées que l’on juge
indignes d’offrir un foyer
et puis la vie.
Mains tendues après la bourrasque
visages fermés qui s’allument
fendant pour un moment le masque
devant le repas que l’on hume
et puis la vie.
L’hiver passé jusqu’au printemps
à recoller vaille que vaille
l’existence d’un autre temps
éparpillée dans la bataille
et puis la vie.
L’été revient les souvenirs
démangent sous les cicatrices
on se reparle d’avenir
avec des sourires complices
enfin, la vie…
Vannes s’ouvrant sur le déluge
hommes et biens soudain noyés
maisons fracassées que l’on juge
indignes d’offrir un foyer
et puis la vie.
Mains tendues après la bourrasque
visages fermés qui s’allument
fendant pour un moment le masque
devant le repas que l’on hume
et puis la vie.
L’hiver passé jusqu’au printemps
à recoller vaille que vaille
l’existence d’un autre temps
éparpillée dans la bataille
et puis la vie.
L’été revient les souvenirs
démangent sous les cicatrices
on se reparle d’avenir
avec des sourires complices
enfin, la vie…
Partager :
- Cliquez pour partager sur Facebook(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquez pour partager sur Twitter(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquez pour partager sur WhatsApp(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquez pour partager sur Pocket(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquer pour envoyer un lien par e-mail à un ami(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquer pour imprimer(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Plus
- Cliquez pour partager sur LinkedIn(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquez pour partager sur Reddit(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquez pour partager sur Tumblr(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquez pour partager sur Pinterest(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquez pour partager sur Telegram(ouvre dans une nouvelle fenêtre)