Extrait du Cahier vert
Les lumières de maisons inconnues
Clignent l’espoir de leurs yeux nus
Dans un halo de brume
Où le ciel vient s’asseoir
Pour effacer la lune
Et perdre la mémoire.
1970
Dernière mise à jour le 11 mois par André
Partager :
- Cliquez pour partager sur Facebook(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquez pour partager sur Twitter(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquez pour partager sur WhatsApp(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquez pour partager sur Pocket(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquer pour envoyer un lien par e-mail à un ami(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquer pour imprimer(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Plus
- Cliquez pour partager sur LinkedIn(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquez pour partager sur Reddit(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquez pour partager sur Tumblr(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquez pour partager sur Pinterest(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquez pour partager sur Telegram(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
ah non surtout ne pas perdre la mémoire 😉
(je suis hors sujet, je sais ;-))
En poésie, on n’est jamais vraiment hors sujet, chaque mot, chaque expression, chaque rime appelle dans le lecteur des réactions intimes.
J’ai écrit cela il y a 50 ans, je n’ai aucun souvenir du moment exact de l’écriture, juste un peu du lieu … et encore, je n’en suis pas sûr. La mémoire …