Quelques notes et des mots …
Les fantômes de ceux dont il ne reste rien …
Cuando paso por tu puerta,
la tarde que viene a herir
con su hermosura desierta
Le miroir du vent est sans tain …
La carte chimérique des chemins de nos vies …
Je me réveillerai un matin sur la terre …
Bruxelles. Une rue banale, une passante …
Moi si j’étais chanteuse …
Pas après pas qu’il est long le chemin …
Quelle abeille moribonde a piqué tous ces gens ?
Libérés les pieds volent …
La main crispée sur le crayon
cherche sa voie,
trace lentement son sillon
J’ai beau courir le temps me suit
Une photo, pas de mot
Dans la classe aux odeurs fanées …
Nous n’avions demandé ni le feu, ni l’orage …
Peu à peu déjà les sapins s’éteignent …
Ils rêvent d’Angleterre comme, enfants, nous rêvions de paradis sur terre …
Premiers pas de plage …
L’air soudain plus léger aujourd’hui rend les armes …