Une voix, quelques notes, et meurt le temps
le poids du corps n’est plus qu’un souvenir
ne reste au fond de moi qu’un cœur battant
à peine ce qu’il faut pour maintenir
une iIlusion de vie dans l’éther blanc .
Par-dessus les toits, les rues, les jardins, je vole
léger comme les notes, emporté par l’élan.
« Bisogna morire » répète une voix folle
au rythme obsédant que j’écoute en m’envolant:
mourons s’il le faut mais sans hâte
que la musique ôte le peu
qu’il reste de notre âme ingrate
et nous endorme s’il se peut.
Une voix, quelques notes, et meurt le temps
le poids du corps n’est plus qu’un souvenir
ne reste au fond de moi qu’un cœur battant
à peine ce qu’il faut pour maintenir
une iIlusion de vie dans l’éther blanc .
Par-dessus les toits, les rues, les jardins, je vole
léger comme les notes, emporté par l’élan.
« Bisogna morire » répète une voix folle
au rythme obsédant que j’écoute en m’envolant:
mourons s’il le faut mais sans hâte
que la musique ôte le peu
qu’il reste de notre âme ingrate
et nous endorme s’il se peut.
Dernière mise à jour le 2 jours par André
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