Le temps n’est plus un air en tourbillons m’emporte …
Monsieur le comte Lippens est le bourgmestre de Knokke …
Le ciel du soir déchire ses haillons …
Une note au fausset doux …
Notes tombant en pluie rythmée …
Au fond de ma tête une contrebasse remplit l’air de contre-temps
Petite musique lancinante, tes notes sûres …
L’été soudain nous a rejoints …
Une voix, quelques notes, et meurt le temps …
J’avais bien entendu, ou lu, l’expression « flash mob » …
la musique donne au printemps des airs d’amours mélancoliques
En regardant la pluie je vois tomber les notes …
Petite fille à l’œil espiègle …
La foule indifférente et pressée se bouscule
sans voir dans un recoin … la fille vêtue de rouge et noir …
Les larmes du piano
ponctuent
le récit triste du saxo, …
Un soir de violons muets dansait dans ma tête une valse …
Jouez violons et violoncelles …
Pierrot rêvait d’une école …
.
Oiseaux messagers, légères,
les notes volent
Les chansons d’aujourd’hui ne me font plus rêver …