La paix du val dort incongrue …
… un œil noir qui me dévisage …
Petite place à l’air tranquille …
Après la torpeur estivale la petite école s’éveille …
Le printemps qui pointe le bout de son bourgeon nous rappelle à la vie …
Note à note, la musique …
Quitter sa torpeur …
Le temps n’est plus un air en tourbillons m’emporte …
Monsieur le comte Lippens est le bourgmestre de Knokke …
Le ciel du soir déchire ses haillons …
Une note au fausset doux …
Notes tombant en pluie rythmée …
Au fond de ma tête une contrebasse remplit l’air de contre-temps
Petite musique lancinante, tes notes sûres …
L’été soudain nous a rejoints …
Une voix, quelques notes, et meurt le temps …
J’avais bien entendu, ou lu, l’expression « flash mob » …
la musique donne au printemps des airs d’amours mélancoliques
En regardant la pluie je vois tomber les notes …
Petite fille à l’œil espiègle …