Qui dira le poids d’une larme
au coin du cil et sur le cœur
quand retentissent les alarmes,
le poids des misères et des peurs ?
Qui dira le froid qui transperce
la chair nue et les jours sans pain,
le rythme des bombes qui berce
le désespoir du lendemain ?
Dans les yeux de celles qui tombent
sur un quai de gare inconnu
s’entrevoient des reflets de tombes,
de décombres et d’espoirs ténus.
Quand s’échouent tant de vies brisées
comme un ressac sur nos rivages
il nous faut, noceurs dégrisés,
aider à porter leur bagage.
Qui dira le poids d’une larme
au coin du cil et sur le cœur
quand retentissent les alarmes,
le poids des misères et des peurs ?
Qui dira le froid qui transperce
la chair nue et les jours sans pain,
le rythme des bombes qui berce
le désespoir du lendemain ?
Dans les yeux de celles qui tombent
sur un quai de gare inconnu
s’entrevoient des reflets de tombes,
de décombres et d’espoirs ténus.
Quand s’échouent tant de vies brisées
comme un ressac sur nos rivages
il nous faut, noceurs dégrisés,
aider à porter leur bagage.
Dernière mise à jour le 4 semaines par André
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Quel beau message plein d’humanité et de réveil des consciences !
bien dit!
Merci…
Oui, et nous ne sommes pas à leur place…
Heureusement pour nous … mais jusqu’à quand ?