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Silence.

L'or du coule
en vagues monotones
où le présent s'enroule,
où le rêveur s'étonne
ballotté par la houle
du flot qui s'abandonne,
du qui s'écroule.

L'argent de la parole
qu'on a trop dépensé
en diatribes folles
n'aura rien financé,
parti en fumerolles,
vainement dispersé.

Le plomb des perdus
pèse sur les consciences
et les malentendus
sur les épaves dansent.

L'or du silence coule
en vagues monotones
où le présent s'enroule,
où le rêveur s'étonne
ballotté par la houle
du flot qui s'abandonne,
du monde qui s'écroule.

L'argent de la parole
qu'on a trop dépensé
en diatribes folles
n'aura rien financé,
parti en fumerolles,
vainement dispersé.

Le plomb des jours perdus
pèse sur les consciences
et les malentendus
sur les épaves dansent.

Dernière mise à jour le 4 mois par André

Posted in Poésie
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