Un village assoupi le long de sa grand’rue …
La caresse discrète à fleur de la peau nue …
Nous vivons sous la pluie un été de déluge …
À cheval sur l’été dont nous rêvions la grâce nous partions …
Je suis décidément de moins en moins fier d’être Belge.
Monsieur Francken, gouverné par des gens tels que vous, j’ai honte d’être Belge.
Il se sent à l’étroit mon pays de frontières …
Le petit peuple avant l’aurore
s’est égaillé …
Le jour se lève et le bourg endormi …
Au soir d’une journée torride …
D’une pédale vigoureuse ils partaient …
Rumeur de la ville …
Une chanson musant aux chemins tortueux …
Été de feux sauvages …
Les portes ouvertes des maisons crient à la rue leur désarroi …
Pour avoir été témoins de ces mains calleuses …
Le printemps n’a fait que passer …
Le long ennui des canicules …
J’aurais voulu d’un ton léger dire la douceur de l’été …