Pas un fil disait le dicton …
Voyageur, que lis-tu ?
La nuit lentement meurt de froid …
Le tic-tac lancinant …
.
J’ai demandé à l’été
Quand enfin, vers le soir, les doigts gourds se détendent.
Plus pâle qu’un soleil d’hiver, un sourire …
Le jour n’est pas levé …
D’où viens-tu, pèlerin égaré sur les routes …
À dire ainsi le bleu, laverons-nous le gris ?
Un pot de café chaud …
Le froid est ce matin sorti de sa tanière …
À Spa, les promeneurs lentement baguenaudent …
Entre chien et loup, le froid s’insinue …
Je marche dans le noir …
Blancheur cruelle tu aveugles et tu rends sourd …
Quand Vivaldi ranime un printemps numérique …
Le grand épicéa en habit vert …
Promesse de printemps …
La solitude du flocon …