« En les nourrissant, vous ne faites qu’en attirer d’autres. »
Puisque l’usage nous accorde tout le mois de janvier …
Discrets, fragiles, ils sont partout …
Traître soleil que sais-tu du sort des humains ?
Loin de l’abri de nos maisons …
La clémence du temps dans la paix du jardin …
Les mots écloront-ils ?
Elle chante la vie,
le nouveau-né fripé naufragé sur la terre, …
Égaré dans un monde aux senteurs discutables …
Vus du balcon, qu’ils semblent loin
les remous du monde enragé …
Pétales au tons fragiles
du coin de l’âme
Le monde est un jardin d’hiver.
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Gris et rose
couleur de vies à la dérive
rouge du sang et noir du deuil
Un jour nous ouvrira la connaissance aiguë de la beauté …
À quoi bon les mots …
Sur le dos rond des vagues tu vogues, pêcheur d’hommes …
Avec votre encre rouge sang, de votre plume verte et vive vous tracez des mots émouvants …
En ce temps délicieux où les humains s’étripent, quelques-uns, pour leur dieu, veulent casser nos pipes …
Du Sud au Nord, les foules folles …
Quand Vivaldi ranime un printemps numérique …