Ah le bel élan ! Voir tous ces gens fraterniser dans la douleur …
en pointillé des air d’enfants, des chants d’oiseaux …
Les ogres en nos pays ont donc une famille …
J’ai dans la tête un rythme doux …
Ils ont la certitude au cœur de leurs boutons que deux ans ne sont rien …
Pâques aux cloches carillonnantes …
La clémence du temps dans la paix du jardin …
Les rayons du soleil, fieffés menteurs …
L’air frais des aurores arrose la terre …
Îles en l’océan fou,
est-ce nous qui voguons
ou l’onde qui bafoue
la paix de nos lagons ?
Quand au soir de l’année tu voudrais …
Immuable et changeant le jardin se réveille …
Un sapin, quelques boules …
Sur l’océan des songes aux chatoiements nacrés j’ai largué les amarres …
En ce temps délicieux où les humains s’étripent, quelques-uns, pour leur dieu, veulent casser nos pipes …
Quand tombe la nuit, bas les masques !
Bruxelles. Une rue banale, une passante …