Vivants nous parcourons des printemps aux ciels clairs
des automnes fuyants et des étés de feu
les sentiers verglacés d’impitoyables hivers
où l’espoir s’amenuise et dont nous sommes peu
à savoir sous le gel et ses éclats de verre
l’indomptable racine aux rêves de ciels bleus.
Vivants nous revenons condamnés à l’oubli
sans cesse à ces printemps tant de fois parcourus
dont les bourgeons moqueurs au creux de leurs replis
redisent les poèmes auxquels nous avons cru.
Vivants nous poursuivons nos chemins solidaires
rêvant d’humanité dans un monde de fer.
Vivants nous parcourons des printemps aux ciels clairs
des automnes fuyants et des étés de feu
les sentiers verglacés d’impitoyables hivers
où l’espoir s’amenuise et dont nous sommes peu
à savoir sous le gel et ses éclats de verre
l’indomptable racine aux rêves de ciels bleus.
Vivants nous revenons condamnés à l’oubli
sans cesse à ces printemps tant de fois parcourus
dont les bourgeons moqueurs au creux de leurs replis
redisent les poèmes auxquels nous avons cru.
Vivants nous poursuivons nos chemins solidaires
rêvant d’humanité dans un monde de fer.
Dernière mise à jour le 1 an par André
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