En ce temps délicieux où les humains s’étripent, quelques-uns, pour leur dieu, veulent casser nos pipes …
Nous leur dirons adieu, sans rancœur ni tristesse …
Aveugle pèlerin qui te cherches une route …
Une version du « Jardin d’hiver » d’Henri Salvador par Agathe Iracema
Les saisons s’éteignent laissant les éléments furieux déchaîner leurs instincts …
Dernier témoin des jours enfuis, la rose désormais fanée ouvre les portes de la nuit
Caché derrière un mot, je guette la saison.
Murs décrépits sur fond de brume, cernés par le vert sombre d’ifs …
Quand tombe la nuit, bas les masques !
Antoine Pol écrit un poème,
Georges Brassens le met en musique,
Francis Cabrel l’interprète,
L’indifférence est lourde au cœur de son hôte et de son témoin.
Où va le sang qui coule?
Une photo, pas de mot.
Le jardinier d’Eden a le cœur en jachère …
La trame usée des jours laisse voir la misère …
Un ressac a roulé de vagues nostalgies …
Du Sud au Nord, les foules folles …
La mer dans sa fureur ne m’a rien révélé
Entre chien et loup, le froid s’insinue …
Les crocus au jardin …